Interview interne | Elise Mesnildrey, directrice de l’agence Muse

Raconte-nous ton histoire chez Muse…

Il y a déjà 10 ans que je suis arrivée dans l’agence, au début en tant que chef de projet chez Kiss The Bride, puis Directrice Conseil, pour ensuite devenir Chief Client Officer. A l’époque, il n’y avait pas les deux agences Muse et Kiss The Bride, et pas de distinction entre le marketing client et l’animation des acteurs de la vente [NDLR : l’agence Muse Motivation, anciennement Loyalty Reward, a été créée en mai 2017].

Mon arrivée chez Muse Motivation va dans la continuité des missions et expertises que j’avais auparavant, et me permet de renforcer des compétences de l’agence MUSE, tel que le Conseil marketing. Mes objectifs principaux sont de développer et d’offrir les prestations les plus complètes aux clients en termes d’animation commerciale, et notamment par le biais de produits comme MAX.

Si tu devais expliquer ton rôle, que dirais-tu ?

Aujourd’hui, j’accompagne chacun de nos clients dans leurs projets en mettant à leur disposition mon expérience de marketer, une équipe capable de répondre à tous leurs besoins de la conception du projet, à sa gestion et son suivi. Notre rôle est de pouvoir les conseiller en fonction de ces besoins et d’apporter des solutions adaptées, personnalisées et pertinentes pour leurs projets. Le but est de mettre en place une relation client et un accompagnement stratégique plus pointus, et plus performants.  J’ai donc avant tout un rôle de conseil et manager car je supervise et coordonne les équipes projet et travaille en collaboration avec le développement commercial.

J’ai aussi une partie de gestion de business unit, de rentabilité et de suivi budgétaire… C’est vraiment très complet, aucune journée ne se ressemble.

Justement, qu’est-ce qui te plaît le plus dans ton métier ?

Tout. J’apprécie chaque pan du métier, aussi bien quand je peux remettre les mains dans le cambouis, pour avoir une vision concrète de ce qu’il se passe dans la vie de l’équipe, mais aussi la partie chiffres, qui fait que je dois traduire la rentabilité des actions mises en place.

Au niveau de la partie management, je dois accompagner des personnes aux expériences différentes, qui ont donc des besoins différents, et faire en sorte qu’ils s’intègrent bien dans l’entreprise et prennent du plaisir dans leur travail.

Encore une fois oui, c’est complet, mais hyper challengeant.

Où trouves-tu tes sources d’inspiration ?

Dans les hommes et femmes que je côtoie. Je fais aussi de la veille, mais surtout je prends exemple sur ma vie de consommatrice de tous les jours. Nos attentes en tant que consommateurs, nos irritants… tout peut être transposé dans les challenges que l’on retrouve avec nos clients.

On a vu par exemple Amazon créer un nouveau modèle de consommation : immédiateté, exhaustivité des produits et prix hyper compétitifs… et on doit s’adapter à tous ces phénomènes dans le domaine de la récompense et puis on doit se faire remarquer en proposant une offre service évolutive et attractive.

Au quotidien, tu es plutôt ?

Je suis dynamique et souriante, je viens toujours avec plaisir le matin. Je sais que chaque journée a son lot de bonnes et mauvaises surprises, et ça me plait.  Je suis aussi très transparente, quand j’ai quelque chose à dire, je le dis, même sans trop de filtres parfois…

Il paraît que je parle très fort aussi, mais j’ai trouvé concurrence avec Stéphanie niveau décibels. [rires]

Une vie ailleurs, ça donnerait quoi ?

On a souvent le débat « Et si tu gagnes au loto ? » avec mon mari. A vrai dire, je ne me verrais pas arrêter de travailler car je m’épanouis dans mon travail. Je suis bien là où je suis, je vis ma vie plutôt que d’imaginer ce qu’elle pourrait être. Alors oui je ferais des voyages, je travaillerais moins, je profiterais plus de mon fils… mais toujours en travaillant. Je ne changerais pas grand-chose à ma vie actuelle…. Ou je deviendrais princesse car Sissi est mon idole !