ITINÉRAIRE BIS TRANSAT #9 | Balade automnale à Chamonix
Pour celui qui rêve de découvrir la montagne pour la...
Insoumise, bruyante mais atypique et attachante, c’est là tout le paradoxe de Marseille. Et si vous arrivez à dépasser les préjugés, pas de doute, vous tomberez vous aussi sous le charme de cette ville du Sud au caractère bien trempé et à l’accent chantant. Alors suivez le guide, vous pourriez bien être surpris !
Passionnée de voyages et de grands espaces, c’est l’appareil photo entre les mains que Juliette parcourt le monde et partage avec ses lecteurs ses aventures et jolies découvertes du quotidien.
Juliette Becquart : Cela faisait quelques années que j’avais très envie d’y aller : on en parle beaucoup depuis l’ouverture du MUCEM notamment ; j’avais aussi pas mal d’amis qui m’en parlaient souvent comme LA ville qui bouge, pleine de surprises. Alors, quand un de mes clients m’a proposée d’y partir en reportage, j’ai sauté sur l’occasion !
J. B. : Déstabilisante !
J. B. : On a été super bien accueillis partout où nous sommes allés. Je dois avouer avoir eu beaucoup de plaisir à capter quelques conversations dans les rues, en terrasse des cafés ou dans le tramway : cet accent chantant est super dépaysant pour la Ch’ti que je suis !
J. B. On n’oublie surtout pas sa crème solaire, surtout en plein été, on prévoit aussi de bonnes chaussures pour arpenter les nombreux quartiers et son appareil photo pour immortaliser toutes les pépites architecturales et la richesse du street-art. Et on revient de Marseille, avec, sans grande surprise, du savon de Marseille ! Pour les gourmands, on fait le plein de navette, des biscuits typiques à la fleur d’oranger. Et pourquoi pas un joli mug design acheté dans une boutique de la Cité Radieuse ?
J. B. Je ne sais pas si c’est un secret mais j’ai été vraiment époustouflée par le street-art du quartier du Cours Julien. Je m’attendais à voir des fresques mais pas à ce qu’il y en ait autant, partout et d’une telle qualité ! Si l’on est sensible à cet art, il y a vraiment de quoi déambuler et se régaler pendant des heures.
J’y suis allée un dimanche matin, toutes les boutiques étaient fermées, c’était idéal pour découvrir leurs rideaux baissés et les œuvres qui les décorent. Sinon, j’ai eu la chance de visiter la villa Gaby, louée pour des séminaires et événements privés. Ce lieu est sublime, avec une lumière magique et une vue incroyable sur la mer.
J. B. Peut-être l’agitation qui y règne. Ça vit, ça bouge. Ça peut désarçonner au départ et finalement, ça fait du bien !
J. B. J’en parlais juste avant, j’ai eu un immense coup de cœur pour le Cours Julien et je me suis régalée à prendre en photo de nombreuses fresques. J’avais mon train à prendre pour rentrer, sinon j’y serais restée quelques heures de plus.
Mon autre endroit préféré : la Cité Radieuse. Un hôtel y a ouvert quelques chambres, j’en ai réservée une pour ma première nuit à Marseille, j’ai eu l’impression de faire un saut dans le passé. Pour les amateurs d’architecture et ceux qui aiment Le Corbusier, c’est à ne pas rater ! Mention spéciale au toit-terrasse et à l’ancienne supérette.
J. B. En se promenant avec des boules de pétanque et en parlant avec l’accent qui chante ? Plus sérieusement, en fonçant sans hésiter vers un des nombreux camions à pizza et en commandant une part avec des anchois, la grande spécialité marseillaise.
J. B. J’y suis allée en plein hiver mais si j’y retournais aux beaux jours, je ne manquerais pas l’occasion de me baigner dans les sublimes calanques ! Et de visiter les îles du Frioul !
J. B. Rien de planifié pour le moment mais je rêve de retourner en Ecosse. J’y étais partie seule en tente, il y a bientôt deux ans. J’ai très envie d’y emmener mon mari et mon fils pour leur faire découvrir ces sublimes paysages.
« C’est la sardine qui a bouché le port de Marseille » est une expression populaire synonyme d’exagération, de galéjade, caractéristique soi-disant typique des habitants de la cité phocéenne.
En 1780, une sardine géante aurait bouché le port de la ville. Il s’agissait en fait d’un bateau, le Sartine. Le navire, qui revenait d’Angleterre, s’est échoué dans le chenal d’entrée du Vieux-Port, bloquant plusieurs jours l’accès aux quais.
Le bouche à oreille transforma le mot en « sardine », si bien qu’on crut pendant des années qu’un immense poisson était à l’origine de cette obstruction.
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Marion est Acheteuse chez Muse.
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